Triste.
Je reviens vers ce blog, qui doit être déserté aujourd'hui, les lecteurs ne se précipitent plus, mais tant pis... Mon coeur saigne, il a mal face à ces paysages de désolation.
Deux-Sévrienne de naissance et vendéenne de coeur, j'ai les larmes aux yeux en pensant que les miens souffrent encore de cette tempête si ravageuse. Un monstre est passé sur ces départements, il a tout détruit, tout rasé. Ils n'ont plus rien, juste la vie... oui, la vie, mais que faire d'une vie sans maison, sans vêtement, sans rien?
Je veux aussi crier ma colère contre les assurances qui sont de véritables éponges au moment des cotisations et qui lâchent les euros au compte-goutte quand il s'agit d'indemniser. Le facteur humain ne compte plus. On devient un contrat sur lequel il y a forcément un alinéa qu'on n'a pas lu ! La petite ligne qui change tout....
En tous cas je pense à ceux qui sont partis, je pense à ceux qui restent mais qui ont tout perdu. Je suis aujourd'hui loin d'eux, mais mon coeur les accompagne dans leurs malheurs.